Forte pénurie de main-d’œuvre à Montréal - Canadahebdo

Forte pénurie de main-d’œuvre à Montréal

Les commerçants du centre-ville de Montréal sont de plus en plus désespérés de recruter des employés. Avec en poche un CV minimaliste, et même sans parler l’anglais, des journalistes ont été en mesure de décrocher pas moins de 16 emplois en quelques heures de recherche d’emploi à peine.

Une étude réalisée par le journal La Presse nous a bien édifiées. Cette étude réalisée par des journalistes du journal La Presse s’est présenté sous le nom de « Juliette » une jeune au Cégep avec zéro connaissance en anglais. Avec environ 30 CV, les journalistes ont parcouru une petite partie du centre-ville de Montréal à savoir la rue Sainte-Catherine, de la station Guy-Concordia à la Place des Arts. Dans un après-midi de la même journée, ils ont déjà eu 16 offres d’emploi

Une situation à nulle autre pareille qui se développement au centre-ville de Montréal au niveau des offres d’emplois. La majorité des candidatures qui ont été remises sur la rue Sainte-Catherine ont donc été acceptées par les employeurs et ceci sans expériences de travail. Les CV ont été émis en personne dans différents commerce au centre-ville comme: de vêtements et chaussures, restaurants et cafés, des crèmeries, des pharmacies et 1 cinéma. Des entrevues étaient sur place et des contrats de travail étaient déjà prêts à être singé sur-le-champ.

Cette pénurie de main-d’œuvre permet aux employés non seulement le pouvoir de mieux négocier leurs salaires, mais aussi leurs horaires de travail. M. Danny Girard, gérant de la boutique de vêtements Jack et Jones au centre-ville de Montréal a confié

« S’ils veulent un congé, nous n’avons pas le choix de leur accorder, comme nous avons besoin d’eux ». Les patrons disent, « Certains des employés n’hésitent pas à demander de travailler seulement les jours de semaine pour avoir leurs soirs et leurs fins de semaine ».

Le centre-ville de la grande métropole de Montréal a toujours été sous une  forte influence de la langue de Shakespeare, de nos jours les employeurs ne font plus des exigences pour le bilinguisme, le gérant d’une boutique de chaussures a confié aux journalistes « on a seulement besoin l’essentiel de l’anglais et si tu peux le faire rapidement, vous être la bienvenue».

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